Arts trompeurs

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Arts trompeurs
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Techniques artistiques visant à créer des illusions visuelles.
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fr Arts trompeurs
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Arts de la tromperie
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« Ce qui est encore plus intéressant, c'est que les deepfakes, alors qu'ils nécessitaient à leurs débuts une quantité assez importante d'images pour être fabriqués, maintenant nécessitent uniquement une image. Donc on a des algorithmes qui fabriquent des deepfakes avec une image seulement. » author self citation
« Ce qui j'ai voulu montrer, par rapport à votre séminaire, c'est l'idée qu'avec ce côté exacerbé de la représentation de l'ivresse, il y a forcément une réflexion sur la dimension fictionnelle, le passage à la fiction, et l'élément narratif aussi, donc cette suspension de disjonction qui peut s'opérer et lorsqu'elle s'opère elle est pour ainsi dire littéralisée avec le spectacle de la représentation de l'ivresse. Donc il y a quelque chose qui oblige à comprendre un phénomène en train de se faire, donc un côté pragmatique, et en même temps il y a me semble-t-il, c'est ce que j'ai essayé de montrer avec l'archéologie, une circulation qui se fait en terme de série culturelle, sur cette façon de représenter les choses.  » author self citation
« Ce qui m'intéresse dans l'ivresse, c'est cette idée de confusion et suspension de disjonction – là je reprends le terme, le vieux terme de Kristeva dans sa pensée structuraliste – et c'est pourquoi je pense qu'il y a une véritable narratogénie de l'ivresse. Il y a une lourde narrativité induite, ne serait-ce que parce qu'elle joue sur cette idée de suspension de disjonction entre les mondes, entre les perceptions, etc. Cette porosité-là, c'est ça qui m'intéresse. » author self citation
« Ce qui m'intéresse, dans les productions créatives, c'est l'approche expérimentale que je propose d'explorer, de reprendre, d'identifier, d'interroger ces limites support, que ce soit la machine ou que ce soit autre chose comme de la feuille et de la page, interroger les limites que ces supports nous donnent, et comment voir si le contenu qu'on imprime, qu'on écrit, qu'on dessine est vraiment encré dans ce support ou est-ce qu'on peut en faire une abstraction et faire des choses différentes avec d'autres support et qu'est-ce qu'on peut faire après, au-delà de ces support. Notamment, au-delà de, je vais le dire comme ça spéculativement, d'une vision très centrée sur l'humain. Je crois qu'il est important de donner du poids à tout ce qu'on appelle en anglais "more than human" , plus qu'humain. C'est James Bridle qui le disait. Car je pense qu'en tant qu'humain capable de conscience, n'est-ce pas, nous avons la possibilité de justement de se projeter, de concevoir comment les insectes voient, par exemple. » author self citation
« Cette mise en relation du discret et du continu incarnerait cette invention de l'architectonique qui tente, comme l'architecture fait, de joindre, de mettre en relation des choses qui sont autrement incommensurables, et faire en sorte qu'une chose puisse parler d'autre chose. Donc d'aller dans un domaine accessible, le bâton dans le sable, vers un inaccessible, donc la hauteur d'une pyramide. L'intelligence artificielle, en mon sens, ressemble à cette forme de construction de nos mondes. On externalise ce point de vue dans un instrument qui rend la haute « dimensionné» d'un phénomène. Si vous voulez, haute dimensionné, vous pouvez penser à des jeux de données massives, donc de Big data. et avec l'hypothèse que ce qui git dans cette haute dimensionnalité là, dans le grand nombre de choses hétérogènes, parce que c'est l'hétérogénéité qui est aussi très intéressante, sinon les données massives produiraient une forme de redondance, on trouve dans une dimensionnalité plus faible des stabilités. C'est avec ces stabilités qu'on est capable de commencer à travailler et avec lesquelles on peut commencer à articuler. Donc, l'architecte va utiliser des instruments pour produire ou générer quelque chose, mais le travail de l'architecte risque la manière de joindre ces choses là. author self citation
« Cette question des deep fakes nous amène dans une filiation culturelle qui est très ancienne. [...] C'est une question qui intéresse l'imaginaire depuis très longtemps, autant au niveau des promesses que des craintes. Alors on parle beaucoup de ces craintes dans l'espace public actuellement, mais on voit que ces craintes existent depuis très longtemps, se sont réverbérées à plusieurs reprises évidemment au niveau du cinéma, et que ce concept, si vous voulez, d'animation d'une figure humaine, elle est très ancienne : on pense aux statues animées dans les temples de l'Égypte ancienne, donc on remonte à plusieurs millénaires, où on animait des statues justement en relation avec les croyances pour faire croire par exemple à l'existence réelle d'un dieu. » author self citation
« Chez Aristote et chez Ricoeur, l'idée de la métaphore est basée sur ce qui s'appelle l'epifora, c'est-à-dire qu'il y a une épifora cachée, c'est-à-dire un passage par lequel on passe[. Selon] le dictionnaire Larousse, une métaphore est une comparaison sous-entendue : c'est ça l'epifora, c'est-à-dire ce qui permet de comprendre le passage d'une transformation, ou d'une substitution analogique. Or, avec l'alcoolisme et la représentation de l'alcool, c'est cette epifora qui est donnée à voir elle-même, c'est la transformation elle-même qui est mise à nue, qui est dévoilée. Donc, il y a comme un dévoilement de l'epifora. » author self citation
« Chez les magiciens, du coup, captés ou détournés, de nombreux dispositifs théâtraux sont à la base de principes magiques actuels, pensons simplement à la trappe, par exemple, qu'on pourrait utiliser, qui est une ressource de théâtre, mais ce qui est intéressant c'est que d'autres formes reposent aussi sur une visibilité même d'une forme théâtrale chez les magiciens, où on va jouer les codes du théâtre par la présence de décors, de rideaux, de costumes, on vient scander en actes un spectacle, on sépare la scène du public, on s'approprie un texte séminal. » author self citation
« Comme le suggère Sabine Süsstrunk, qui est directrice de recherche en informatique des images dans un institut en Suisse, j'ai relevé, dans un récent interview qu'elle produit avec une historienne de la photographie qui s'appelle Estelle Blaschke et un artiste Armin Linke, qu'elle propose, elle formule un doute sur la véracité des images et qui peut servir de constat de départ pour examiner, justement, la photographie contemporaine. Je lis en quelques lignes son propos : "Mais c'est ça le truc, vous savez ce que c'est un "deepfake" ou est-ce que ce n'est pas un "deepfake" ? Ce sont des questions que nous devons nous poser. Un portrait artificiellement généré est en tout cas un "deepfake" , mais une photo de moi avec un nouveau rouge à lèvres ou de nouvelles lunettes est-ce un "deepfake" ? D'un côté, mais oui ! Ce ne sont pas mes lunettes et je ne porte jamais de rouge à lèvres. Cela devient donc problématique. Je pense que la société a appris que les "fakes" existent, mais nous ne savons pas encore ce que nous faisons de cette connaissance." Donc, pour Süsstrunk, plutôt que d'établir des distinctions formelles entre le vrai et le faux, il serait nécessaire, en réalité, de comprendre les rapports entre documents photographiques et trucages, du point de vue d'un examen des modalités de production de l'image. C'est-à-dire, depuis l'infrastructure de l'image. Or, les médias génératifs sont aussi des médias computationnels, c'est-à-dire qu'ils sont les produits de calculs. Comment alors penser l'authenticité de ces images ? » author self citation
« Comment ça accompagne l'architecte ces créations ? J'ai pris deux exemples de Matias Del Campo et de Manas Bhatia qui, vraiment, dans le milieu de l'architecture, ce sont deux personnes assez importantes qui ont une place sur le devant de la scène pour l'usage de l'intelligence artificielle en architecture. Qu'est-ce qu'on peut en dire de ces images ? On s'aperçoit assez rapidement que, finalement, notre mode d'évaluation n'est plus tellement dans une question de critères traditionnels, même on est à peu près convaincu que l'idée, ce n'est pas de construire les images qu'on a, parce qu'il y a une complexité assez effrayante, on pourrait dire. Même s'il y a des images de projection, comme ça, la ville de demain ne ressemblera pas à cela, on en a le sentiment. On est plutôt en train de construire une sorte de nouvel imaginaire via ces images et qui, là, me semble intéressant pour montrer, justement, en creux, quelles sont les attentes ou les aspirations qui nourrissent certains milieux de l'architecture. C'est là que c'est assez étonnant, car les architectures n'ont jamais été habitués de vraiment énoncer très clairement leurs intentions. Là, le prompt les obligent à dévoiler ou à formuler leurs intentions pour leurs explorations. À rendre explicite ce qui était implicite avant. » author self citation
« Comment on en arrive à ce que cette idéologie du transhumanisme soit occultée : par le pouvoir de la rhétorique. Pour bien comprendre ce pouvoir là, je propose de parler, d'abord, de la personnification parce que c'est probablement la figure de rhétorique la plus forte chez l'humain. C'est-à-dire que le visage humain est la figure visuelle qu'on voit le plus depuis les débuts de l'humanité, depuis que le bébé naît. On a même une zone du cerveau qui est dédié à la reconnaissance des visages. Donc, le visage humain est extrêmement important pour faire sens du monde qui nous entoure. La personnification a un pouvoir rhétorique très fort. Pierre Fontanier (Les figures du discours, 2009) nous dit que la personnification rend une pensée plus sensible, plus riante. Cela rend une espèce d'être réel et physique, douée de sentiment et de vie. Enfin, ce qu'on appelle une personne. » author self citation
« Dans l'art magique, tout est tromperie et désinformation, mais une désinformation avérée. Donc la performance magique, pour moi, il est impossible d'en cerner l'authenticité tout en sachant très bien les ressorts utilisés et en connaissant son artificialité. Pour moi, ce qui définit le spectacle de magie, [...] c'est un spectacle dans lequel on est jamais trompé, c'est-à-dire [que] pour moi, si on ne sait pas qu'on est face à un spectacle de tromperie alors on n'est plus dans le domaine du spectacle de magie, le spectacle de magie est un spectacle qui affirme son artificialité et sa fausseté quelque part. » author self citation
« Dans les années 60, pour moi, il y. a une grande révolution qui est arrivée. Bien sûr, c'est l'éclatement des formes artistiques, surtout au point de vue des arts visuels, la question des happenings, etc. Et donc, la scène des arts vivants, le théâtre avec Leaving theatre, notamment. On regarde les performances du Leaving theatre dans les années '60-'70 (...). Et on est fasciné de voir que, justement, cette fois-là, ce sont des acteurs qui sont présents sur scène, mais qui agissent aussi en tant qu'eux-mêmes. Et donc ils se présentent et ce n'est pas juste la question d'une réalité fictionnelle. On n'est plus dans la fiction. Ils sont en train de faire des actions et ils provoquent des spectateurs d'une certaine manières, des dialogues, etc. Mais toujours en leurs noms. Alors, juste pour comprendre que cette fois-là, la réalité n'est plus juste une réalité de fiction, mais une réalité concrète dans laquelle la personne qui est sur la scène, se joue elle-même bien souvent, peut endosser des personnages qu'elle veut, mais encore encore facilement pour dire "voici la réalité" . » author self citation
« Deleuze nous décrit, à propos de la narration falsifiante, une sorte de monde en suspension où émergent des signes purement visuels et sonores, ce qu'il appelle, à l'occasion, des "obsignes" , des "sons-signes" qui sont déconnectés des autres images mouvements et, à la lettre, qui ne valent plus que pour elles-mêmes, qui deviennent autoréférentielles. Il ne s'agit plus d'images affection, d'images action, il s'agit d'images souvenirs, d'images rêves, d'images mentales. Ce qui intéresse Deleuze, c'est vraiment la dimension virtuelle qui habite et qui hante l'image perception et qui vient créer cette rupture dans les connexions logiques de la réalité a priori, donc représentée à l'écran. Au point, où, justement, la distinction entre le vrai et le faux, le réel et l'imaginaire, se brouille et devient, à la limite, indiscernable. » author self citation
« Donc le groupe est immédiatement soudé. Les visiteurs sont emmenés à Lascaux "à vivre une performance", les mots sont importants, en équipe selon une dramaturgie prescrite. » author self citation
« Donc, ce qui m'intéresse dans l'étude de ces approches computationnelles qui sortent aujourd'hui et qui sont très à la mode, ce n'est pas du tout de les utiliser. Je trouve que d'un point de vue heuristique, ils ne sont pas très intéressants ou ils n'apportent pas grand chose, du moins pour le moment, à mon raisonnement scientifique. Pour le dire très vite, je ne parle, en particulier, pas de toutes les approches algorithmiques, car il y en a plein qui m'intéressent. Il y a des approches algorithmiques pour calculer les prochaines éclipses du soleil. Ça c'est très intéressant et ça existe depuis très longtemps. Mais en 2017, on a inventé les transformeurs, avec l'article "Attention is all you need". Ces trucs là, pour moi, actuellement, ils ne servent absolument à rien d'un point de vue scientifique, mais ils sont très intéressants, si on les étudie, pour mieux comprendre nos modèles de comportements intelligents. C'est-à-dire qu'on peut les étudier pour "qu'est-ce que ça nous dit cet algorithme-là." Par contre, il faut aller, un peu, dans les détails. On ne peut pas juste utiliser ChatGPT et puis dire ce qu'il me dit par rapport au comportement intelligent, non. » author self citation
« Donc, en disant que l'objectivité c'est un mythe, puis en affirmant par le même texte que, par contre, on a démontré scientifiquement qu'il y a de l'inégalité homme-femme, voyez-vous, c'est un tissus de contradiction. La question qui se pose pour le sociologue des sciences que je suis c'est comment expliquer que des gens s'auto-contredisent sur des niveaux aussi élémentaires et que ce sont des professeurs d'universités. Ça, ça fait partie de mes objets de recherche de dire que la rationalité élémentaire, qui vont contre leurs propres intérêts [...] et ce qu'ils écrivent sont complètement une contradiction dans les termes. » author self citation
« Donc, je vous laisse avec cette petite citation d'une artiste qui dit : " I want AI to do my laundry and dishes so that I can do art and writing, not for AI to do my art and writing, so that I can do my laundry and dishes. " (Joanna Maciejewska). [...] C'est quand même une question de savoir finalement ce qu'on attend de cette IA. Est-ce qu'on attend d'elle qu'elle soit créative et qu'elle se substitue à nous en tant qu'auteur ou est-ce qu'on attend des IA qu'elles soient vraiment des éléments fonctionnels qui nous libère du temps pour la créativité et pour des activités qui pour nous ont du sens et de la valeur. » author self citation
« Donne-moi d'abord une définition de ce que tu crois être l'intelligence puis, si cette définition est correcte, si cette définition est juste, je dirais, pour aller dans le sens de Yves [Gingras], si cette définition est non ambigüe et scientifique alors, une machine peut le faire. Je serai, sur ça, complètement d'accord avec ce que raconte [John] von Neumann qui, dans un colloque de 1948, dit, je le résume ainsi : "tout ce qui peut-être défini de manière non ambigüe (et on peut ajouter formelle) peut être modélisé" . » author self citation
« Est-ce que le numérique introduit véritablement un changement dans la façon dont on peut tromper par le visage, ou bien on peut tromper en représentant le visage? Qu'est-ce qu'il y a de différent entre le deepfake et un trompe-l'œil de la Renaissance? » author self citation
« Et donc, la narration véridique nous donne suffisamment de repères pour que le spectateur puisse reconstituer sans trop de difficulté cette unité de l'image mouvement. Les chaînes sensori-moteurs dont nous parle Deleuze suppose des opérations logiques, des liens de causalité, entre les images et respectent les critères du vraisemblable. Cela va avoir son importance quand je vais parler des critères de l'IA. Donc, les critères du vraisemblable qui dessine les contours de la forme du vrai. » author self citation
« Il [Deleuze] donne un certain nombre de concepts que je trouve vraiment pertinents pour aborder l'intelligence artificielle. Il propose de parler à l'égard de ces narrations falscifiantes, de voir des œuvres qui fabriquent des "images cristal" , qui sont constituées de plusieurs facettes, où le virtuel vient directement percuter l'image actuelle à l'écran. Donc, on assiste à une coprésence du passé et du futur, un mélange d'espace, une hybridation de l'espace-temps où le souvenir d'un passé, par exemple, s'accroche à l'image objective. Alors, Deleuze a une fascination pour le cinéma d'Orson Welles et avec raison. Il cite, par exemple, "Citizen Kane" et "F for Fake" . (...) Ce qui intéresse Deleuze, c'est cette situation trouble où le spectateur, tout comme les personnages dans le film ne sont plus capables d'identifier ce qui relève du souvenir, du présent, une forme d'hallucination de la réalité qui entraîne une "déstabilisation" , pour Deleuze, de la forme du vrai. Et cette force déstabilisatrice que Deleuze cherche à analyser dans l'image cinématographique, et on sait que l'image cinématographique lui sert à élaborer une réflexion sur la pensée elle-même, c'est toute la force de l'analyse de Deleuze, il propose de la qualifier de "puissance du faux" . C'est une puissance qui rend les choses incertaines et tend à confronter le spectateur à une forme de dilemme représentationnel. Il ne s'agit pas tant de le tromper et de le confondre, mais de l'amener à réfléchir sur ce qui est réel, imaginaire, vrai ou faux. » author self citation
« Il me semble, en effet, que plutôt que de perpétuer des systèmes d'oppositions binaires entre, dans ce cas-ci, la transparence et l'opacité, nous devrions focaliser notre attention sur la sophistication grandissante et le haut degré de complexité qui caractérisent les médiations que nous vivons à présent et qui n'ont pas de précédent historique. » Conference
« Il parlait d' "uncanny valley" comme d'un élément narratif. Nous avons tous déjà expérimenté cette sensation de voir un robot qui nous parle, mais en même temps, on voit que le robot est un peu étrange. On essaie de le comprendre, de sympathiser, enfin de se projeter. Mais en même temps que cette empathie, nous avons une répulsion. L' "uncanny valley" , ça définit cela. Finalement, on constate que ce n'est pas réaliste vraiment, que c'est plutôt du côté étrange. C'est quelque chose qui a commencé en 1970 déjà, par un auteur au Japon, Masahiro Mori, dans l'univers des robots et de la cybernétique. Le film que je vous ai montré (Stina and the Wolf), la notion d' "uncanny valley" servait aux personnages, un peu comme un peu David Lynch le fait dans ses films, pour représenter une émotion. Dans le fait que le héros, le personnage principal, est en train de le sentir, il se confronte contre lui-même. Puis, le drame se reçoit à la fin. » author self citation
« Il y a cette espèce de contradiction entre la prétention ou la promesse, [...] la promesse de réalité, la promesse d'authenticité, et d'un autre côté l'aspect hautement faux, mis en scène, fictionnel à la limite, des dispositifs de téléréalité. » author self citation

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