Complexité

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« Cette grande diversité de collections et de données pose un certain nombre de problématiques qui sont donc liées précisément à cette diversité des formats de description et donc on a trois formats principaux pour les données de la BnF : le format Intermarc, qui est celui du catalogue général, le format EAD, qui est un format de description des archives, archivistique, qui n'est pas sur les mêmes modalités, et puis on a le Dublin Core, qui est le format simplifié, qui est un langage du web sémantique, utilisé par Gallica, qui permet justement d'articuler les deux autres formats, mais qui du coup est un format qui est, on va dire, simplifié, appauvri. Dans l'Intermarc, on a à peu près une centaine de champs différents pour décrire les collections, alors que dans le Dublin Core on a que quinze champs, et donc vous voyez l'appauvrissement des données, et ça pose des difficultés pour la constitution de corpus puisqu'on ne va pas pouvoir aller aussi finement dans Gallica, pouvoir constituer des ensembles. Et pour les chercheurs, ça pose des problématiques donc d'appropriation de ces formats, qui sont des formats professionnels, des bibliothèques et des archives, et puis des problématiques de conversion de ces formats. » author self citation
« Donc, ce qui m'intéresse dans l'étude de ces approches computationnelles qui sortent aujourd'hui et qui sont très à la mode, ce n'est pas du tout de les utiliser. Je trouve que d'un point de vue heuristique, ils ne sont pas très intéressants ou ils n'apportent pas grand chose, du moins pour le moment, à mon raisonnement scientifique. Pour le dire très vite, je ne parle, en particulier, pas de toutes les approches algorithmiques, car il y en a plein qui m'intéressent. Il y a des approches algorithmiques pour calculer les prochaines éclipses du soleil. Ça c'est très intéressant et ça existe depuis très longtemps. Mais en 2017, on a inventé les transformeurs, avec l'article "Attention is all you need". Ces trucs là, pour moi, actuellement, ils ne servent absolument à rien d'un point de vue scientifique, mais ils sont très intéressants, si on les étudie, pour mieux comprendre nos modèles de comportements intelligents. C'est-à-dire qu'on peut les étudier pour "qu'est-ce que ça nous dit cet algorithme-là." Par contre, il faut aller, un peu, dans les détails. On ne peut pas juste utiliser ChatGPT et puis dire ce qu'il me dit par rapport au comportement intelligent, non. » author self citation
« L'approche de l'esprit critique que je propose consiste à non seulement viser des compétences formelles de raisonnement, mais au-delà de cela, elle implique de considérer d'autres dimensions de l'esprit critique, comme la qualité de questionnements et l'élaboration d'hypothèses. Le fait d'être capable de problématiser. Cela nécessite aussi de prendre connaissance des cadres de référence de construction des connaissances, de l'épistémologie, et des informations mobilisées, c'est-à-dire de prendre connaissance de l'environnement numérique. Et puis, moi, je défends une approche qui implique et qui embarque des capacités interprétatives que je développe comme compétences créatives dont l'imagination, l'intuitivité et la réflexivité, dans la lignée des travaux de Walters (1990). » author self citation
« La créativité, ici, c'est le fait de modifier une distribution des probabilités pour augmenter les probabilités d'une chose qui, dans une distribution linguistique, serait normalement moins probable. » author self citation
« Les jeunes et les enfants qui s'ouvrent actuellement aux réseaux sociaux, etc., il faudrait imaginer de leur demander de gérer leur identité numériques dès qu'ils sont petits. Gérer sa réputation dès l'enfance, c'est assez ambitieux, d'une part, et peut-être un peu utopique de demander à des enfants ou à des adolescents d'avoir conscience que, potentiellement, le Web n'oublie rien. D'avoir conscience de ce que c'est qu'une donnée personnelle et comment comment les données sont gérées ou pas par le RGPD. Comment sont-elles protégées par des lois comme le RGPD. Mais aussi, leur donner des compétences pour gérer des relations amicales en ligne et, aussi, avec des inconnus. Nous avons un écosystème complexe avec des publics qui ont encore de nombreuses expériences à faire afin d'avoir le recul nécessaire pour gérer leur identité numérique. Nous sommes dans des tensions qui sont là et qui sont importantes. » author self citation
« On vient de voir avec Orélie (Desfriches-Doria) que les émotions sont une part importante des problématiques qu'on peut se poser. Dans le cadre de ma présentation, je voulais mettre l'accent sur une émotion particulière qui est la confiance, en essayant de faire une part entre ce que j'ai appelé une confiance intime, une confiance peut-être humaine, en rapport avec une confiance numérique, et comment l'un et l'autre permettent de manipuler des informations. » author self citation
« Très lié à la question qui intéresse ce séminaire, qui est le faux et puisqu'on essaie après de faire convergence avec l'IA, c'est aussi la très célèbre définition de sémiotique donnée par Umberto Eco, six ans après McLuhan. Donc, vous voyez, ils étaient des contemporains. Eco disait que la sémiotique c'était la discipline qui étudie tout ce qui peut être pour mentir. Si quelque chose, si le signe ne peut pas être utilisé pour mentir, alors il ne peut pas non plus être utilisé pour dire la vérité. Donc, au final, on peut l'utiliser pour rien, donc ce n'est pas un signe. Il mettait en avant le problème de comme quoi les signes, c'est quelque chose de conventionnel, c'est quelque chose de culturel. C'est quelque chose qui appartient à un système de règles partagé, social, etc. Mais au final, on peut discuter, on peut critiquer, cela fait cinquante ans. Aujourd'hui, les sciences cognitives, la perception est étudiée, comment le cerveau des individus influence également comment on perçoit les signes, c'est beaucoup plus important aujourd'hui. Avec Eco, c'est intéressant de voir comment il analysait le succès ou l'échec de la communication. » author self citation
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